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PRÉSERVER LES RESSOURCES HYDRAULIQUES

Parce que l’eau est une ressource en matière d’atténuation des émissions
rare en Tunisie, l’UBCI travaille à la des gaz à effet de serre ». Les deux
promotion de son économie auprès de événements ont vu la participation
ses collaborateurs et de ses clients. Bien d’experts en Energie et Changement
que sa consommation interne demeure climatique et Membres de l’Association
sous contrôle avec un coût ne dépassant Tunisienne pour la Maîtrise de l’Energie
pas les 40 KTND par an, la banque veille (ATME). Cette exposition et ces
à généraliser des gestes simples comme conférences s’inscrivent dans la volonté
l’attention à la fermeture des robinets, y de l’UBCI de développer la connaissance
compris pendant le lavage des mains par du grand public tunisien des enjeux
exemple : laisser couler l’eau pendant la environnementaux afin de valoriser les
minute de manipulation du savon entraine comportements éco responsables de lutte
en effet un gaspillage de près de 12 contre le réchauffement climatique.
litres. Des messages de prévention et de
sensibilisation sont fréquemment diffusés Les enjeux actuels liés au climat en faisant
en interne dans le but d’optimiser les notamment le point sur les questions
comportements internes. soulevées par l’augmentation des gaz à
effet de serre liée aux activités humaines.
Le développement de la connaissance
et le partage de meilleures pratiques
environnementales :
En complément de ses engagements
liés à l’accompagnement de ses clients
dans la transition énergétique, l’UBCI
contribue au renforcement et à la
diffusion des connaissances auprès de
la société civile à travers l’exposition
« Climat : Expo à 360° »

L’UBCI. propose une approche documen-
taire des dernières actualités et flux de
données sur les questions géopolitiques,
économiques, énergétiques, environ-
nementales, technologiques et scienti-
fiques liées au changement climatique.

L’UBCI a organisé également plusieurs
conférences : la première portait sur
« Les climats passés et les prévisions
pour les prochaines décennies sur
le continent africain » et la seconde
sur « La contribution tunisienne